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4 juin 2015 4 04 /06 /juin /2015 19:29
Le Discours du Roi Philippe VI d'Espagne à l'Assemblée Nationale

le Roi Philippe VI d'Espagne, est cousin issu de germain de Monseigneur Louis, Duc d'Anjou lui même Roi de France de Droit (toujours non règnant malheureusement) en tant que premier né dans l'ordre de primogéniture mâle de la dynastie capétienne des Bourbons.

Le Roi Philippe VI est quant à lui 5è dans l'ordre de succession à la couronne de France.appartenant à la branche cadette des Bourbons.

la séparation des 2 couronnes du fait que c'est la branche cadette de la dynastie des Bourbons sur qui repose celle d'Espagne rend caduque le traité international d'Utrecht signé du temps de Louis XIV qui fut signer dans le but d'éviter la double couronne sur la même tête. Le Prince Louis est donc parfaitement disponible pour ceindre la couronne de France qui ne peut ceindre que le Front de l'aîné dynastique selon les lois fondamentales du Royaume de France.

Après cet aparté, Ecoutons le discours du Roi Philippe descendant comme le Prince Louis de Louis XIV.

http://www.francetvinfo.fr/monde/europe/direct-regardez-le-discours-du-roi-d-espagne-devant-l-assemblee-nationale_934077.html

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21 janvier 2015 3 21 /01 /janvier /2015 18:00

Discours apaisant, ferme et serein de la sérénité de celui qui constate, réfléchit avec prudence aux conséquences cherche les causes et s'appuie sur l'expérience des siècles pour se projeter sur l'avenir.

source des vidéos: VEXILLA GALLIAE sur YOU TUBE

Chers amis,

Nous voici réunis une nouvelle fois, autour de la mémoire de Louis XVI. Remercions le Père Augustin Pic  d’avoir su, avec la hauteur du théologien, éclairer pour nous les aspects les plus profonds de sa personnalité de Roi et de chrétien et en tirer les leçons applicables à nos vies quotidiennes.

Nous nous retrouvons chaque année à l’occasion de l’anniversaire de l’assassinat du Roi, mais il n’est pas question pour autant de nous tourner simplement vers le passé avec nostalgie. Ceci serait contraire à la tradition royale que traduit la formule ancienne « Le Roi est mort, vive le Roi ! ». Hymne à la vie, au progrès, chaque roi et Louis XVI en particulier, s’est préoccupé de faire avancer la société et de l’adapter. Roi géographe, Louis XVI a ouvert la France sur le monde. Epris de sciences humaines et politiques, il avait compris que des réformes étaient nécessaires, notamment en matière fiscale. Voilà un roi qui n’aurait pas aimé notre société dont il est dit souvent qu’elle est bloquée, qu’elle est désenchantée, notamment pour les plus jeunes. La royauté était là pour réenchanter chaque génération. Saint Louis, commémoré l’an dernier, tant en France qu’à l’étranger, a fait bouger les structures qui par nature ont toujours tendance à se scléroser. Il a réformé la justice, les impôts, renouvelé l’exercice de la charité, favorisé la paix et la diplomatie, s’éloignant des guerres féodales. Ainsi, huit siècles après sa mort, le siècle de Saint Louis est objet d’admiration.

Cette année, nos regards et notre réflexion se porteront vers François 1er et Louis XIV. Deux hommes, symboles d’une monarchie active ayant œuvré également pour les générations à venir.  Ces exemples éclairent notre mission. En commémorant, nous appréhendons les ressorts de l’action des rois et leurs effets. Or, il me semble qu’il est très important d’avoir cette vision prospective pour notre camp si inquiet et qui a des raisons de l’être. Ce sentiment, j’ai l’impression qu’il est partagé par beaucoup. Je l’ai ressenti, lors de mes derniers déplacements à Paris, mais aussi en province, à Bouvines, à Aigues-Mortes, ou encore dans le Missouri cet été. L’Histoire et les commémorations servent de repères pour mieux guider notre action présente. Ainsi, lorsque je m’exprime sur tel ou tel événement du passé, bien évidemment j’honore une action d’hier d’autant plus que souvent elle s’est accompagnée du sacrifice de ceux qui ont participé ; mais chaque fois ma préoccupation est de savoir ce que cela apporte pour aujourd’hui, pour demain.

France, qu’as-tu fait de ton Histoire ? Que peut-elle nous apprendre ? Chacun peut voir la grande différence entre les façons de faire contemporaine et la politique du Roi. Il était animé par une vision du long terme, voire loin pour bien gouverner, c'est-à-dire toujours se poser la question avec ce que je fais aujourd’hui, dans quelques domaines que ce soit, Quelles seront les conséquences pour demain ? Notre société ne doit-elle pas s’interroger sur ses responsabilités et son rapport au temps ?

Ce souci du futur est d’être associé à un profond sens de la justice, lié à ce temps de l’Esprit Saint qui s’appelle la crainte de Dieu. De Saint Louis à Louis XVI, tous les Rois se sont posés la question des plus fragiles : les veuves, les orphelins, les enfants, les vieillards, les estropiés et les malades, et leurs droits de la naissance à la mort afin qu’ils ne soient pas lésés. Ces questions ne sont-elles pas toujours d’actualité ? De cruelle actualité ?

Voilà à quoi servent les commémorations, à nous mettre en phase des réalités du quotidien pour essayer de trouver des solutions. Le rappel des fondements de notre histoire peut nous y aider.

Voyez-vous, si je tiens ces propos dès aujourd’hui, en cette période où il est traditionnel d’échanger des vœux, c’est parce qu’il me semble que se sont des vœux que nous pouvons tous formuler pour notre chère France. Elle a besoin de retrouver les ressources de sa pensée, de ce qui a fait sa grandeur et sa force : responsabilité dans l’action, justice pour tous, confiance, sens à donner à la société. Avant moi, mes prédécesseurs, notamment mon grand-père et mon père, m’ont rappelé tout cela. Sans doute parlaient- ils trop tôt. Il me semble que ce langage est plus audible désormais. Le Saint Père le tient. Les jeunes l’attendent. C’est à nous d’être les sentinelles de notre société et de lui apporter le fruit de l’expérience. A nous d’être des précurseurs. La récente actualité tragique nous y conduit, et comme le disait le Cardinal XXIII dimanche dernier : « Il ne faut jamais désespérer de la paix si l’on construit la justice ».

Ainsi,  je termine ces mots en vous demandant à tous de prendre aussi vos responsabilités dans tous les domaines où vous agissez : dans vos familles et dans la vie professionnelle ou associative. Nous ne courons pas derrière une quelconque nostalgie, mais nous souhaitons rendre notre monde meilleur. Tel est bien le message de dix siècles de monarchie : toujours me demander ce que la royauté pouvait apporter de neuf et de fort pour demain. Telle est ma façon de voir. Dans cet esprit, j’ai souhaité réorganiser les associations ayant pour objectif de mieux faire connaître l’histoire de la royauté française et de ses apports à la société. Il me semble qu’avec une seule association, nous serons plus forts. Si l’autonomie des uns et des autres doit être préservée, l’unité dans la complémentarité est une nécessité. L’unité a toujours été au cœur de la pensée royale. Il fallait la retrouver. J’ai aussi souhaité que les domaines de compétences soient mieux lisibles notamment vis-à-vis de l’extérieur. D’un côté avec l’Institut, nous pouvons continuer la nécessaire œuvre culturelle et d’approfondissement des connaissances. De l’autre, avec mon secrétariat que j’ai voulu élargir, peut-être mener une action plus ouverte, notamment sur les problèmes éthiques, sociaux et économiques auxquels la société est confrontée.

Je continuerai ainsi mes déplacements en province et à l’étranger pour mieux comprendre les situations des uns et des autres, et apporter le message d’espoir que peut représenter pour eux l’héritage de la monarchie française et des valeurs qu’elle véhicule.

J’espère tout au long de l’année vous retrouver nombreux, afin qu’ensemble, fidèles à la tradition, nous sachions être des artisans du futur.

Voilà les vœux que je forme en ce début d’année, pour vous et vos familles, et pour que la France demeure fidèle à sa tradition de fille aînée de l’Eglise.

Merci de m’avoir écouté.

autres vidéos de la journée

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25 août 2014 1 25 /08 /août /2014 09:00

armes_bourbon

Communiqué du Secrétariat Particulier de Monseigneur le duc d'Anjou
Pour les Chrétiens d'Orient, osons fêter la Saint-Louis

 

25 août fête de Saint Louis. En cette année de commémoration de la naissance du grand roi né en 1214, elle ne peut passer inaperçue ni nous laisser indifférent car l'image du roi nous ramène immanquablement à la Terre Sainte qui a tenu une grande place dans sa vie de souverain, de souverain chrétien. Or huit siècles après, cette terre se trouve toujours en guerre avec son lot de victimes et de drames vécus au quotidien par une des plus vieilles populations chrétiennes de la terre. Nous assistons à une véritable persécution qu'il faut dénoncer comme crime contre l'humanité. Les Chrétiens d'Irak qui étaient 1,5 millions il y a une trentaine d'années sont moins de 400 000. Le combat est celui, une nouvelle fois de David contre Goliath, des petits contre les géants. Mais les géants de nos jours sont armés puissamment et non moins puissamment fanatisés. Les moyens de résister sont faibles. Pourtant ne faut-il pas tout faire pour que ces Chrétiens demeurent sur leur terre ? Ils y vivent depuis toujours, depuis le début de l'ère chrétienne, c'est-à-dire bien avant que l'Islam n'y soit venu.

Saint Louis le saint de la justice, du bien commun et de la famille, est aussi celui d'un dialogue méditerranéen. S'il est plus que connu en France où les cérémonies organisées à l'occasion du 8ème centenaire de sa naissance et de son baptême sont nombreuses, il l'est aussi de la Tunisie à l'Egypte en passant par Chypre et il est encore largement honoré au Liban.

Saint Louis, le premier, accorda la protection de la France aux peuples chrétiens d'Orient. Depuis, de François 1er à Napoléon III tous les souverains honorèrent cette promesse. La République n'y fut pas insensible même si parfois sa position manque de vigueur. Toutefois la voix de la France n'est plus aussi forte qu'auparavant et beaucoup de « bruits de fond » empêchent qu'elle soit bien audible. Ces peuples martyrs manquent de protecteurs.

Pourtant la situation des Chrétiens d'Orient demande à ce que l'on parle en leur nom. Le Pape François l'a fait fermement et courageusement il y a quelques jours. Plusieurs évêques et cardinaux français sont partis sur le terrain et ont montré par l'exemple et la prière que les chrétiens d'occident, que les fils de Saint Louis étaient à leur côté. Mais cette présence, ces prières doivent être soutenues et amplifiées. C'est à nous, nations chrétiennes dans un monde plus ou moins préservé, de rappeler qu'il y a des valeurs essentielles avec lesquelles les politiques ne peuvent transiger. Celles de la vie tout d'abord, de la vie respectée de la conception à la mort ; celles, ensuite, d'une société sachant s'élever au-dessus des seuls matérialismes et hédonismes comme vient encore de la rappeler le Pape François à Séoul ; celles, enfin, du respect mutuel entre croyants.

Le message chrétien dont la France a longtemps été le porte-parole est celui de la primauté du droit sur la force. La force du conquérant ne peut rien contre les droits de ceux qui ont toujours été là et qui se sont toujours reconnus comme chrétiens.

Cette présence chrétienne dans le cœur du Moyen-Orient, dans le berceau de la civilisation née en Mésopotamie, est une richesse pour toute l'humanité. Que serait celle-ci si l'uniformité régnait, si l'uniformité de la brutalité régnait ? Le message de Saint-Louis encourage à préserver cette richesse. Lui qui savait pardonner à ses ennemis, et a toujours mis toute son énergie en avant pour que la chrétienté puisse vivre sur la Terre Sainte. C'est la vigueur de sa foi et de ses vertus de chrétien qui ont fait que même prisonnier, ses ennemis l'ont estimé. C'est ainsi qu'il est saint et que huit siècles après il est toujours honoré.

Aîné des descendants de Saint Louis, je lance donc un appel en faveur des chrétiens du Moyen-Orient afin que la paix leur soit donnée, afin qu'ils puissent vivre sur leur terre et continuer à témoigner qu'au-delà de la violence des hommes, il y a place pour la charité, la justice, le droit. C'est cela la paix de Dieu. Le message malgré les siècles demeure. Le Pape François le prêche partout dans le monde. Il appartient à tous les hommes de bonne volonté de le diffuser et de faire vivre ces valeurs en redonnant du sens à leur vie. Pour les Chrétiens d'Orient, face aux persécutions et à l'exil forcé, il y a urgence. Telle est la prière que nous pouvons adresser à Dieu, par l'intercession de Saint-Louis en sa fête le 25 aout.

Louis, duc d'Anjou
Aout 2014

source: Institut Duc d'Anjou

25 août: Communiqué de Monseigneur Louis Duc d'Anjou
25 août: Communiqué de Monseigneur Louis Duc d'Anjou
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14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 14:59


À 19h00, à l’occasion du 10anniversaire de la dépose du coeur de Louis XVII à la basilique St-Denis, une messe votive de saint Louis était célébrée pour le jeune roi par S. Exc. Mgr Jean-Louis Bruguès, archiviste et bibliothécaire de la Sainte Eglise romaine, en présence de Mgr le Prince Louis, duc d’Anjou.     
À  20h30, une gerbe était déposée à l’emplacement de la Tour du Temple, où décéda Louis XVII, le 12 juin 1795.     
Après ce dépôt, un dîner, organisé par l’Institut Duc d'Anjou, rassemblait de nombreuses personnes autour du Prince, de Mgr Bruguès et de M. l’abbé Xavier Snoëk, curé de Sainte-Elisabeth de Hongrie.     

Au cours de ce dîner, Mgr le Prince Louis a prononcé le discours ci-après :  

   
    
« Excellence,
Monsieur le Curé,
Mesdames et Messieurs,
Chers Amis,

 
À l’issue de ces deux cérémonies, vous avez souhaité que soit organisé un dîner pour terminer cette journée par une rencontre amicale, soyez-en remerciés. C’est une nouvelle occasion de me retrouver parmi vous tous, fidèles qui m’entourez depuis de si longues années et nous sommes très honorés que Monseigneur Bruguès ait pu se joindre à nous.    
Je salue nos amis venus d’Amérique, où je serai au mois d’août pour commémorer saint Louis et la création de la ville de Saint-Louis du Missouri, il y a 250 ans par le roi Louis XV.    
La soirée que nous vivons est solennelle puisque nous nous retrouvons autour du souvenir de saint Louis et de Louis XVII. Le Saint, roi à 12 ans et l’enfant roi, Martyr à 10 ans. Quel symbole ! L’un et l’autre, brutalement sortis de l’enfance et confrontés au meilleur et au pire. 
   
Avec saint Louis, dont est commémoré cette année, un peu partout en France et dans le monde, le 8e centenaire de la naissance, nous comprenons mieux ce qu’apporte à la royauté la religion vécue jusqu’à la sainteté. Elle a permis à Louis IX d’accomplir sa tâche de souverain en mettant toujours en avant les principes évangéliques que lui avait inculqués sa mère, Blanche de Castille. Être le roi de la justice ; celui de la paix entre les grandes principautés féodales ; celui de la protection des petits et des faibles ; enfin, celui de la charité qui s’est traduite par ses préoccupations sociales en oeuvrant autant pour créer des hôpitaux que pour assurer aux veuves et aux orphelins des moyens de subsistance. Son souvenir est tel que, huit siècles après, il demeure un modèle honoré dans de nombreuses villes comme j’ai pu le constater tant à Poissy qu’à Aigues-Mortes ou à Paris, alors que ce sont des dizaines de villes qui ont programmé des commémorations cette année. 
   
Avec Louis XVII, nous plongeons dans un autre versant de la nature humaine, celle de la face honteuse d’une humanité qui a perdu tout sens des valeurs au point de laisser mourir un enfant de 10 ans dont le seul crime était d’être un fils de roi et son successeur légitime. 
   
Mais, malheureusement, si Louis XVII reste un symbole de l’enfance sacrifiée, ne faut-il pas reconnaître que son sacrifice n’a, à vue humaine, rien changé. L’actualité montre que les enfants sont toujours les innocentes victimes de la folie, de l’égoïsme ou de la perversion des adultes. Des enfants-soldats aux victimes des actes pédophiles, les enfants martyrs se comptent en milliers, en millions comme si bien souvent les adultes faisaient payer aux plus petits et aux plus faibles leur propre incapacité à agir pour le bien commun.    
L’exact opposé du message multi-séculaire de saint Louis ! 
   
Alors comment ne pas être amené à réfléchir ?    
Y a-t-il un lien entre ce passé et notre avenir ? 
   
Il est dans la question des valeurs. Quelle société voulons-nous ? Cette question est celle de chacun d’entre nous. La question de la crise morale, que nos sociétés traversent, est souvent évoquée en France, mais aussi dans d’autres pays européens et notamment par le Saint-Père. Cette crise morale est celle de la perte de sens de nos sociétés. Nous avons su être à la pointe des progrès technologiques et scientifiques. Nous savons aller sur Mars ; nous pouvons voir l’infiniment petit. Les découvertes médicales nous étonnent chaque jour un peu plus. L’homme est capable de grandes choses ! C’est la face saint Louis, Bouvines, François 1er, Louis XV et Louis XVI... 
   
Et pourtant, notre société est confrontée au doute, au désenchantement qui frappe les plus jeunes, au découragement qui frappe les plus âgés. 
   
La différence se trouve dans le sens que nous donnons à la vie, à toute la vie. Dès qu’on la détourne du Bien commun et des devoirs que chacun a vis-à-vis de ses prochains et de ceux qui le suivront, la société tombe dans tous les pièges et dans tous les excès. Telle est la rançon des époques qui perdent le sens des valeurs. Souvenons-nous, en effet, que le martyre de Louis XVII ne fut pas un acte isolé - une erreur de l’histoire - mais qu’il accompagna le génocide des 500 000 Vendéens, les prisons de la Terreur et les nombreux guillotinés, et qu’il précéda les guerres qui firent plus d’un million de victimes et laissèrent la France exsangue. Spirale du malheur ! 
   
Que voulons-nous pour demain ?    
Telle est la question que tous les rois se sont toujours posée. Quel est notre devoir, le vôtre, comme le mien ? Quelle est notre mission ? Pourquoi maintenons-nous une tradition ? En un mot, quel sens donnons-nous à la royauté en ce XXIe siècle ?    
Je le dis souvent, il ne s’agit pas de regretter quelque époque passée qui, quoique nous fassions, ne reviendra pas. Il convient d’aller vers l’avenir. D’aider à le construire comme le roi Louis IX l’a fait. 
   
C’est ce que l’on attend de toutes les royautés. En Europe, c’est le régime de nombreux états et pour certains, nous savons combien il est important. Dans les pays qui l’ont abandonné, les crises succèdent aux crises et surtout, les peuples payent un lourd tribut comme en Iran, en Lybie, en Afghanistan. En 1989, lorsqu’il s’est agi de faire la transition entre le régime communiste et le monde libéral, plusieurs états avaient pensé à restaurer les antiques maisons royales, en Hongrie, en Roumanie, en Bulgarie. Il est sans doute regrettable que cela n’ait pas été réalisé, la transition aurait sans doute été facilitée. Les rois ont l’avantage de pouvoir symboliser leur pays, à travers toutes ses diversités et chacun peut s’y rattacher comme dans une famille tous les membres partagent les mêmes ancêtres. 
   
Mon devoir est donc de maintenir la flamme de l’espoir. Mais j’ai besoin, autour de moi, de personnes qui s’engagent, de jeunes et de moins jeunes qui ne soient pas des nostalgiques, mais qui aient envie de changer la société pour la faire progresser. C’est tous ensemble que nous réussirons. 
   
Alors, voyez-vous, si je dis cela, aujourd’hui parmi vous, c’est parce que souvent m’est posée la question sur ce que je fais. Il est vrai qu’il n’est pas simple d’être l’héritier de la tradition royale française et l’héritier de la tradition de saint Louis. Cet héritage, je l’assume. J’essaie d’appliquer dans ma vie familiale et professionnelle ces principes fondateurs. J’aimerais faire mieux pour l’enfance malheureuse en particulier et dans d’autres domaines aussi. Avec tous et notamment ceux de ma génération, prenons des initiatives. Tel est le devoir de l’héritier des Bourbons, de l’aîné des Capétiens. 

   
Merci. 
   
Louis, duc d’Anjou »    


_________________

 

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19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 13:21
"Mais la France ne peut pas périr, car le Christ aime encore les Francs !" (Henri comte de Chambord)
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Dans le cadre des commémorations nationales du 8ème centenaire de la naissance de Saint Louis, plusieurs paroisses franciliennes ainsi que l’association Oriflamme ont organisé une grande procession à Paris, le samedi 17 mai 2014 en présence de
Monseigneur Louis de Bourbon, duc d’Anjou.

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En tant qu’aîné des descendants de Saint Louis, Monseigneur le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou, fut le premier à marcher, durant la procession, derrière la statue de Saint Louis. À son arrivée sur le parvis de la cathédrale Notre-Dame de Paris, le duc d’Anjou eut le plaisir de rencontrer ses cousins le prince Henri, duc d’Orléans, et la duchesse d’Orléans.

 Orleans

La procession est parti  de l’église Saint-Eugène (Paris 9ème) vers la cathédrale Notre-Dame de Paris, pour une ostension de la Sainte Couronne d’épines et des reliques de Saint-Louis. Une statue de Saint-Louis, portée sur brancard, constituait le centre de cette procession, où figureraient chœurs, bannières, troupes médiévales et ensembles musicaux.

Nous publierons de nombreux cliché de cette cérémonie mais voici déjà, en avant-première, quelques images de le rencontre entre le prince Louis de Bourbon, duc d’Anjou et aîné des capétiens et le prince Henri d’Orléans, duc d’Orléans et chef de la branche cadette de la maison de Bourbon (clichés dus à M. Emmanuel Delhoume et transmis à nos amis de la Charte de Fontevrault).20140517_151547

(le duc d’Orléans serrant la main de son cousin le duc d’Anjou)

20140517_165811 

(de gauche à droite: le duc d’Anjou, la duchesse d’Orléans et le duc d’Orléans)

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(lors de la cérémonie religieuse: le duc d’Anjou, le duc et la duchesse d’Orléans)

Le 18 mai 2014.

Jean-Yves Pons, CJA. ( membre du Conseil dans l'Espérance du Roi )

Vive Saint Louis et Vive Nos Princes !...
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27 janvier 2014 1 27 /01 /janvier /2014 18:03

La Journée d'hommage au Roi Louis XVI des royalistes attachés à la légitimité de celui qui est le descendant direct de Louis XIV par primogéniture mâle, chef de l'ensemble de la famille descendante des capétiens toutes branches confondues, commença par une messe de requiem pour l'âme du Roi martyr, à la Chapelle Expiatoire dont la construction démarra sous Louis XVIII et se termina à la fin du règne de Charles X, messe à laquelle assistait à la place réservée aus princes du sang dans l'ordre de primogéniture.
Chapelle pleine à craquer, la moitié de l'assistance était dehors, dont moi-même arrivée un peu tard pour être à l'abri, dans un froid vif que nous avons supporté stoïquement pendant 1 h 1/2.
Quand la cérémonie se termina, le clergé sortit précédé de la Croix suivi de Monseigneur Louis. aux cris ensthousiastes de "Vive le Roi", où la foule de environ 400 personnes avait retrouvé couleur et chaleur dans son enthousiasme.

Une haie humaine des proches du prince se constitua de façon à faire passer la foule personne par personne afin que Monseigneur Louis puisse recevoir les contragulations de chacun, il eut un petit mot aimable pour chacun assorti de ces sourires si chaleureux  et regards plein de bonté qu'Il a toujours pour tous, petits et grands.
Madame la Princesse Marie Marguerite son épouse, souffrante et allitée, n'a pas pu l'accompagner.

A 12 h 30, tous ceux qui avaient pu s'inscrire au banquet donné dans un restaurant de la place St Augustin, soit une centaine et même un peu plus , se retrouvèrent autour du Prince pour un gai et bon repas, qui fut précédé par le Discours de Monseigneur Louis.

Appartenant à l'ALLIANCE ROYALE qui comme chacun le sait n'a pas de positions dynastiques afin d'unir tous les royalistes dans un combat commun pour le RETOUR DU ROI, laissant le choix de celui qui reprendra la couronne à la famille royale dans la réunion de ses membres à cet effet, j'étais malgré tout présente à ce repas en tant que légitimiste à titre personnel ( légitimisme qui considère que la sagesse est de suivre la primogéniture mâle dans la transmission dynastique)  sachant que comme le disait très justement Yves Marie Adeline,  on ne pourra pas rétablir la Royauté sans l'assentiment du peuple de France, je suis aussi parfaitement en phase par ailleurs avec le projet de changement des institutions qui a d'ailleurs l'agrément de la très grande majorité des membres et sympathisants de l'ALLIANCE ROYALE et qui donne un véritable pouvoir au Roi, arbitral, de Justice et de protection sécuritaire pour la France, ainsi que la réapproriation du peuple de France de Ses Libertés dans une démocratie qui se veut la plus harmonieuse où le Roi et le Peuple se protègent mutuellement contre les tendances réccurentes des olligarchies dominantes à vouloir régulièrement prendre le pouvoir particulièrement par les tentations de pouvoir financier.

portrait-prince_jdc_25-01-2014 J'ai donc pleinement écouté le discours du Prince louis qui m'a, il faut l'avouer parfaitement satisfaite par l'équilibre de Sa Pensée parfaitement chrétienne et parfaitement d'actualité.
J'ai aimé Sa Tranquille Assurance.

Discours à découvrir donc ...ici....

A la fin du déjeuner, Le Prince alla gentillement rendre visite au personnel de restauration dans les cuisines et le banquet se termina, ensuite avec de nouveau des "vive le Roi" s'enchainant à mesure qu'Il s'avançait vers la sortie du restaurant.


La Journée se termina
, dans la magnifique église de la Sainte-Trinité, près de Saint-Lazare, une troupe de théâtre a su magnifiquement appeler le lyrisme dans le testament de Louis XVI. Il s'agit d'un témoignage poignant d'un homme condamné, capable de concilier son rôle de père et celui de Roy. Un grand merci à tous les membres de cette pièce pour cette prestation. Ce fut un moment particulièrement émouvant.

Chantal de Thoury

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16 décembre 2013 1 16 /12 /décembre /2013 19:32

Chers amis, 

Noël ! C'était le cri de joie des siècles passés. A l'entrée du roi dans une de ses bonnes nouvelles, on lançait l'acclamation au nom de la fête de l'Incarnation! Cette incarnation est la plus grande joie du monde, c'est son espérance. Alors nous aussi, crions : Noël ! à pleine voix ! Disons-le avec d'autant plus de force que nos temps sont difficiles.

Alors que l'année civile s'achève, je me retourne avec vous vers les événements écoulés de 2013. Que vois-je ? Une intervention militaire française a commencé l'année au Mali, une autre la termine au Centrafrique, mais entre les deux, on a détricoté un peu plus nos armées, qui ne sont plus que l'ombre de leur squelette. Pourtant, avec leur constance et leur dévouement, les militaires ont mené à bien toutes leurs missions. Dans ces temps de trahison, de félonie, de manquement à la parole donnée, la fidélité de l'armée envers ses chefs, même mauvais, est une leçon d'amour de la France qui suscite en moi l'espérance.

Que vois-je encore ? Pendant un an, des millions de Français se sont battus contre la loi dénaturant l'union sacrée entre un homme et une femme. Ils ont martelé le pavé des villes de France, ils ont tenté, par tous les moyens, de réveiller l'autre moitié du pays, endormie dans l'indifférence et l'abandon. Ils n'ont pas été écoutés. Au mépris des lois instituées par lui, l'Etat les a maltraités, trahis, bafoués. Mais là encore, je crois que l'heure est belle. Ces millions de Français se sont retrouvés pour un combat commun dont l'ambition est le respect de la dignité humaine. C'est la plus noble des batailles. Ils ne l'ont perdue qu'en apparence. Le mouvement lancé ne s'arrête pas. Il continue, en souterrain, et il forme les consciences, agit dans les écoles, dans les familles, dans les associations. C'est le renouvellement de l'intelligence de la société qui est en marche. Mon espérance est grande.

Qu'y a-t-il eu de plus ? Cet hiver, des travailleurs de tout le pays se sont levés, pour la première fois depuis longtemps, contre l'impôt injuste, confiscatoire, ennemi de la liberté. Les bonnets rouges en Bretagne, les chauffeurs routiers dans toute la France, les professionnels du cheval, les artisans, disent non à ces impôts qui tuent l'emploi, écrasent la libre entreprise et découragent l'investissement, le travail et l'effort. Ces gens ne se résignent pas à "l'à quoi bon ?" Au fond du cœur ils ont la flamme de la liberté. Nous la pensions éteinte. Elle brûle. Une fois encore, le gouvernement ne les a pas écoutés. Il a voulu diviser pour mieux régner, il les a méprisés. Mais ils ont montré que l'on pouvait envisager la révolte. A nous de la rendre constructive. C'est mon espérance !

Il y aurait bien des choses à dire encore, sur la famille, le travail dominical, l'école. Les nuages s'amoncellent et partout percent les rayons du soleil. Mais je ne voudrais pas vous ennuyer après vous avoir intéressés. Je sais combien votre temps est précieux. Je vous en dirai plus avec l'année nouvelle.

Alors je m'arrête en vous disant simplement, en guise d'envoi, que ma certitude est que notre résistance ne fait que commencer, mais que la victoire est inéluctable. L'œuvre est entre nos mains. Conservons l'espérance, et agissons avec détermination, pour rétablir le bon sens dans notre belle France. Noël !

Charles 

article source: http://www.vexilla-galliae.fr/points-de-vue/editoriaux/597-noel-noel
 
 Le Prince Charles-Emmanuel de Bourbon-Parme
Président du groupe de réflexion :
Nouveau Dialogue
Est heureux de vousfaire part de notre prochaine réunion :
Dans les salons du restaurant Lapérouse , 51 Quai des Grands Augustin 75006 Paris (Voiturier)
Le Mardi 17 Décembre 2013 à 19h30
(Un cocktail dînatoire sera proposé après les débats moyennant une participation aux frais)
« Vendée, du Génocide au Mémoricide » Avec Reynald SECHER
Historien, Ecrivain, Scénariste, Docteur en sciences Humaines, Politique et Historique
« Ensemble, nous pouvons faire la différence »

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3 décembre 2013 2 03 /12 /décembre /2013 19:17

Le 22 novembre 2013, Son Altesse Royale le Prince Henri Comte de Paris, chef de la Branche seconde de la descendance royale (Bourbon-Orléans), (Monseigneur,  Louis Duc d'Anjou étant le Chef de la Branche aînée (Bourbon-Anjou) et héritier direct de droit de la Couronne de France), Son Altesse Royale Henri Comte de Paris donc,  a écrit l'éditorial suivant plein de sagesse.
Nous ne pouvons que le remercier d'avoir fait cette analyse véridique et comme les autres membres de la famille royale tels:  Son Altesse Royale le Prince Sixte de Bourbon-Parme et Son Altesse Royale le Prince Charles de Bourbon-Parme, fait entendre la voix non discordante qui les réunit tous. Nous sommes dans l'espérance que les Français nos compatriotes vont enfin comprendre que leur famille Royale est leur famille mère sous la direction de l'aîné en primogéniture , Monseigneur Louis qui en est le Chef,
Cette semaine nous prions pour les élus de la France mais il est aussi de notre devoir à tous de prier pour nos princes, car ce sont eux qui vont avoir la tellement lourde charge en premier, avec altruisme,  d'aider le Roi leur cousin à relever de par la grace de Dieu, notre pauvre pays.

Nous restons dans l'attente actuelle du livre sur l'Etat de la France et le Mondialisme, que vient d'écrire Monseigneur Louis Duc d'Anjou et dont la parution se fera au début du mois de mai 2014.
Chantal de Thoury

Repenser l'Europe et la France dans l'Europe?...  
(source: http://www.maisonroyaledefrance.fr/)

Les Français vivent actuellement drames et cauchemars à répétition.  
La crise, la dette poussent à grande vitesse le pays vers la  
banqueroute. Les impôts ont atteint un seuil, d'intolérance. Notre  
industrie s'effrite et la France est vendue par petite morceaux -en  
douce- aux Wahabites et aux Quataris, sans que les médias trouvent  les moyens de nous informer. L'invasion rampante d'un islam  conquérant etplus qu'arrogant dans notre pays où ils se croient déjà  les maîtres et se comportent comme tels, rend les Français malades.  
Quant à l'Europe elle n'est même plus, pour eux, une planche de salut.Il y a plusieurs années, bien avant que l'idée du traité de  
Maestricht ne prenne consistance, nous avions été conviés à un dîner - débat de décideurs européistes. Un grand silence s'installa parmi nos  commensaux lorsque la Princesse posa LA question: quelle Europe  désirez vous construire, fédérale ou confédérale? Dans celle-ci,  chaque Patrie conserverait son identité culturelle, ses spécificités  et ses pouvoirs régaliens: la justice, la monnaie, la diplomatie et  la Défense. Ce qui permettrait à l'Europe d'additionner ces multiples  différences devenues un "en plus" pour tous. Un silence de plomb fut  la réponse. Au point, qu'intimidée, la Princesse eut peur d'avoir  prononcé une énorme bêtise incongrue face à ces "sages"...
Peu de temps après les Français rejetaient par référendum le traité  de Maestricht et parmi eux un grand nombre de socialistes menés par  Monsieur Fabius et Monsieur Chevènement, anciens ministres.
 Dans ce  traité, imposé contre la volonté démocratique des Français, l'unique  phrase rappelant les racines judéo chrétiennes de l'Europe et de la  France avait été effacé, nous privant ainsi de nos libertés essentielles, celles de notre souveraineté régalienne.
Néanmoins  force est de constater l'échec de l'Europe de Maestricht.Aujourd'hui il est clair qu'une gouvernance tremblante de peur, de  lâcheté devant l'abîme qui continue de se creuser, ne veut ni bouger  ni écouter. Les Français de plus en plus nombreux constatent l'échec  de l'Europe et la mort prévisible si nul ne prend la France à bras le  corps. Il est inimaginable de penser que l'euro, cette monnaie que  les experts voulaient commune ait été lancée sans étude préalable  approfondie, sans vision à long terme et sans véritable structure, à  partir d'un néant subjectif et par une simple multiplication à  données variables!...
 Comment ne pas s'étonner alors, que du jour au  lendemain 
que le prix de la baguette de pain ait doublé et le reste à  l'avenant 
?Il devient urgent de repenser l'Europe et la place de la France dans  cette nouvelle confédération. Remettre les solutions aux calendes  grecques serait compromettre définitivement le redressement de notre  économie, car au final, c'est la banqueroute qui nous attends. Ne  nous comportons pas comme Gribouille qui, pour mettre à l'abri de la  pluie ses habits neufs, ne trouva rien de mieux que de se mettre sous  un pont au milieu d'un torrent furieux.
Vendre nos industries, notre agriculture, nos terres au delà des mers  et des morceaux de France à l'Etranger, aux Wahabites , aux Quataris  en leur permettant même d'acheter nos églises que l'on abandonne à la  ruine pour justifier de les transformer en mosquée (plus de 1200  mosquées seraient ainsi érigées), cette mise à l'encan de notre  patrimoine pourrait, un jour,  être considéré comme haute trahison,  
uns trahison irrémédiable car on ne dépèce pas la France, on ne tue  pas sa spiritualité et toute la beauté qui en découle. Comment ne pas  évoquer l'amour d'un grand nombre de Français pour leur région, leur  terroir alors que les campagnes se désertifient au profit de  mégalopoles sortes de tumeurs cancéreuses sur notre tissus social? 
Ces Français souffrent de la délocalisation de nos industries qui  périclitent et pour conséquence des millions de Français vont grossir  l'armée des chômeurs. Pleure oh Pays bien aimé, car je partage avec  beaucoup de Français la quasi certitude qu'une volonté extérieure  puissante, soutenue par des relais intérieurs, a la volonté de  détruire la France éternelle, sa culture, son humanisme et ses  valeurs ontologiques. On ne jette pas la France tel un kleenex déchiré.
Il est donc urgent de construire l'Europe confédérale, l'Europe des  Patries telle que le Général de Gaulle en avait la vision avec Conrad  Adenauer. Le premier pas devrait être de proposer les moyens de  détricoter l'euro. De nombreux économistes ont des propositions  concrètes à faire, des projets déjà formulés. Chaque pays, en  conservant sa monnaie, pourrait retrouver une souplesse politique  donc économique et financière pour relancer la croissance avec la  possibilité de jouer sur le cours de la monnaie, encadrée au sein  d'un serpent monétaire mais aussi en allégeant les charges  insupportables des patrons d'industries de PME ou PMI qui aimeraient  embaucher. Les Banques Centrales souveraines de chaque pays  maintiendraient l'euro pour les échanges commerciaux extérieurs.  Prenons exemple sur le 
pragmatisme de nos voisins Anglais qui ont  conservé la souveraineté régalienne de leur monnaie, tout en étant  partie prenante de l'Europe. 
Le pragmatisme en politique donne de  meilleurs résultats qu'une 
idéologie, toujours éloignée de la réalité  et de ceux qui soufrent, 
qui peinent. Voudrait-on voir disparaître  les pauvres,leschômeurs, 
les classes moyennes que l'on continue de  matraquer fiscalement, que l'on prive de travail et bientôt des biens  essentiels à la vie?Pourtant au début de ce nouveau quinquennat plusieurs grands experts  avaient fait parvenir à l'Elysée une sévère mise en garde accompagnée  de propositions, de projets pour redresser la France et tenter  d'arrêter cette terrifiante glissade vers l'abîme. Ce fut lettre  morte et manifestement sans même avoir été lu. Certes le libre- échange, tel que vécu, totalement débridé face à la mondialisation  incite au super 
enrichissement de ceux qui s' en sont déjà donné les  moyens et à l'appauvrissement de ceux qui ont déjà été laissés pour  compte. Du temps où, ce que l'on nommait le PLAN, existait encore  notre économie et notre industrie se portaient mieux...
Si l'Europe des Patries trouve la volonté politique de se construire,  avec pragmatisme, il conviendrait de protéger chaque pays et à  fortiori l'Europe confédérale en rétablissant nos frontières  respectives, nécessaires à notre économie, mais aussi afin de pouvoir  juguler les invasions dont nous sommes victimes et principalement  celle de l'islam tout en conservant le pouvoir et le devoir de  renvoyer chez eux ceux qui profitent de notre sécurité sociale sans  contrepartie de travail. Aujourd'hui les Français sont refusés à la  
porte des hôpitaux qui reste grande ouverte aux immigrés quels qu'ils  soient même sans papiers ni argent. Ce sont les contribuables  Français qui en supportent le coût.

Parallèlement la France devrait avoir une politique familiale  
favorisant la natalité des Français afin de résister à la pression  
démographique du Sud. Actuellement le laxisme d'une politique des  vases communicants est la cause principale de bien des maux. Tachons  de faire mentir Lénine qui disait: "L'Europe est un ventre mou qu'il  faudra engrosser". L'islam de la charia, actuellement, ne s'en prive  déjà pas.
Pour que l'Europe des Patries et non des Nations voie le jour, il  
faudrait évidement en repenser la gouvernance, à l'image d'une  
confédération Helvétique... Car pour l'instant la Commission   
Européenne de Bruxelles est semblable à ces gravures cauchemardesques  du grand artiste Piranèse, fruit de la divagation mentale de  fonctionnaires sans mandat électif, ou de lobies de tout calibre,  aussi nombreux que les puces sur un chien errant et des banques dont  on ne distingue plus la vocation si ce n'est la loi du plus fort et  celle de l'argent roi, laissant l'Homme nu dans un marécage.
Si j'écoute les vieux sages et les jeunes sages -il en existe encore  en France- travailler pour construire une Europe confédérale ne leur  semble pas une utopie. Il faut en avoir le courage, ce n'est pas ce  qui manque aux Français. Cela permettrait de soulager notre voisin  d'outre Rhin, il ne serait plus seul à supporter le poids mal réparti  d'une Europe en perdition. Prétendre vouloir idéologiquement faire le  bonheur des peuples malgré eux autorisa Lénine puis Staline à tuer  plus de trente millions d'individus. La France est encore riche de  possibilités, d'hommes et de femmes intelligents, capables,  responsables, c'est à eux qu'il faudra s'adresser pour le présent et  
l'avenir.
Vivent la France et les Français.

Henri Comte de Paris Duc de France

Paris 22 Novembre 2013
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15 octobre 2013 2 15 /10 /octobre /2013 20:09

Les Mercredis de l’IDA - Conférence du mercredi 30 octobre 2013

L'Institut duc d'Anjou, Vexilla Galliae et leCentre d'Etudes Historique sont heureux de vous convier à la conférence du

Mercredi 30 octobre 2013 à 20h00

placée sous le haut patronage de Monseigneur le prince Louis, duc d'Anjou

 

Mémoires et correspondance de l'abbé Edgeworth de Firmont*
avec le révérend père Augustin Pic op

et avec la présence du prince Louis de Bourbon, chef de la Maison Royale de France 
 
Maison des ingénieurs ETP
15, Rue Cortambert
75016 Paris
 
Métro : ligne 6 ou 9 Trocadéro ou Rue de la pompe
RER : Boulainvilliers
Bus: 63, 32, 22
Voiture : Parking possible au 78 rue de Passy – 75116 Paris
 
Participation aux frais : 7 euros ou 5 euros (ecclésiastiques, étudiants, chômeurs)
 
Contact : secgal@institutducdanjou.fr
 
*Les brefs mémoires et correspondance de l'abbé Edgeworth de Firmont, ultime confesseur de Louis XVI, ont été publiés sous la Restauration, presque huit ans après sa mort. L'essentiel en a été repris en Angleterre, au sortir de la Seconde Guerre mondiale, dans une petite monographie traduite en France à l'occasion du bicentenaire de la Révolution. Ces textes et cette étude n'avaient toutefois donné lieu à aucune approche historique de fond. La découverte d'une trentaine de lettres manuscrites, aussi intéressantes sur la vie et l'esprit de leur auteur qu'utiles pour vérifier l'authenticité des pièces imprimées en 1815 et 1818, la fameuse Relation des derniers instants du Roi surtout, en a donné l'occasion.
On trouvera donc ici réunis tous les écrits de l'abbé aujourd'hui accessibles, précédés d'un état des connaissances sur le personnage, ses réseaux de relations et amitiés en France, Irlande, Angleterre et ailleurs, son statut institutionnel dans l'Église de Paris pendant la crise révolutionnaire (historiquement douteux avant ces nouvelles lettres), son lien à la famille royale aux Tuileries puis au Temple, ses fonctions auprès de Louis XVIII émigré, ses convictions sur le rapport du politique et du religieux et sa physionomie spirituelle.
Cette première étude sur un homme dont le souvenir se réduit le plus souvent au 21 janvier 1793 et au célèbre « Fils de saint Louis, montez au ciel » qu'il aurait prononcé, permet aussi d'entrevoir quelques figures oubliées du clergé de l'Émigration.
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9 novembre 2012 5 09 /11 /novembre /2012 20:48

source: INSTITUT DUC D'ANJOU

Le prince et la princesse

Madame la duchesse d’Anjou vient d’obtenir la nationalité française

D'origine vénézuélienne, la Princesse Marie-Marguerite avait demandé la nationalité française en raison de son mariage avec un Français, au titre de l'article 21-2 du code civil. Il faut rappeler à ceux qui ne le sauraient pas encore, que Monseigneur le Duc d'Anjou est Français de naissance par filiation, tout comme ses trois enfants : la princesse Eugénie, 5 ans, et les jumeaux, âgés de 2 ans, le prince Louis, duc de Bourgogne, et le prince Alphonse, duc de Berry.

 
Avec la Princesse Marie-Marguerite, c'est désormais toute la famille royale de France qui possède la nationalité française au regard des lois actuellement en vigueur.

Le Prince et la Princesse démontrent, par cette démarche fortement symbolique, leur attachement à la France et leur engagement auprès de leurs 65 millions de compatriotes vivant en France, comme aux deux millions de Français formant la communauté française expatriée à travers le monde.

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25 août 2012 6 25 /08 /août /2012 00:00
 Pour la présentation de ses 3 enfants aux Invalides le 30 juin 2012, le Prince Louis Duc d'Anjou, aîné de la descendance directe des Rois Capétiens par primogéniture mâle a prononcé un discours paisible, pacificateur, ancré dans l'Histoire de la France, ancré dans la Tradition de transmission, en parfaite corrélation avec la loi naturelle familiale et éducative;
Un discours qui ne peut que réunir les français, qui les intègre à cette famille royale, comme réunion du même corps de la France.
En résumé: Discours unificateur de Roi.
La Rédaction du blogue des Royalistes du Nivernais-Berry.

Présentation des princes à l’Hôtel des Invalides par InstitutDucAnjou

Ci apres, une reproduction intégrale du discours du prince :

Monsieur le Ministre,
Monsieur le Gouverneur militaire de Paris,
Mesdames et messieurs les parlementaires,
Mesdames et messieurs les élus,
Mesdames et messieurs les représentants de la société civile religieuse et militaire,
Mesdames et messieurs,

Nous voici tous réunis dans ce très beau lieu qu’est l’Hôtel des Invalides, lieu de mémoire de la France, créé par mon grand-père Louis XIV pour aider ses soldats. Permettez-moi de remercier très vivement en votre nom, le général d’armées Bruno Dary, gouverneur militaire de Paris, qui nous fait l’honneur de nous y accueillir.

Avec mon épouse la princesse Marie Marguerite, nous avons souhaité que vous puissiez mieux connaitre nos enfants, la princesse Eugénie, qui a maintenant 5 ans, et les princes Louis, duc de Bourgogne, et Alphonse duc de Berry qui viennent, récemment, de fêter leurs deux ans.

Nous avons la joie d’être parents. L’arrivée d’un ou plusieurs enfants, c’est un événement dans un foyer. Ce sont de vrais changements. D’adulte, il faut passer à l’état de parents. Nous avons une immense responsabilité : avec amour, apporter à nos enfants les valeurs auxquelles on croit, les accompagner, les faire grandir.

Un enfant qui arrive, il faut bien l’ancrer dans sa famille. La famille, certes, petite cellule familiale bien chaude, mais aussi structure sociale qui s’inscrit dans le temps et qu’il faut que l’enfant puisse comprendre, appréhender, s’approprier. C’est ainsi que se forme la filiation, la tradition, et par là même l’avenir.

L’enfant est un tout qui montre ou rappelle que transmettre la Vie est loin d’être banale. Saint Paul enseignait aux enfants de respecter les parents, et à ceux-ci de les élever.

Quant à vous, mes chers enfants, j’ai reçu de mon regretté père, votre grand père, un héritage formidable dont j’aurais tellement aimé qu’il me parla plus longuement, comme un père. Dieu en a voulu autrement. Son héritage, je l’assume et avec mon épouse, votre chère mère, nous voulons vous le transmettre.

Regardez, mes enfants, ce que la France vous lègue : 1000 ans d’Histoire capétienne, 1000 ans de territoires rassemblés par vos aïeux pour construire notre France d’aujourd’hui. Vous êtes nés français, français, vous devez vivre, comprendre et transmettre cet héritage. Que cela ne vous monte pas à la tête, mais portez haut les couleurs et les traditions de notre pays, … soyez en la tête.

Notre rôle de parents est de vous aider à aimer la France, à comprendre votre histoire, à aimer les femmes et les hommes qui en sont la richesse. Chacun ici est aussi un maillon indissociable pour la construction de la France de demain

Nous devons, nous parents, vous aider à vous inscrire dans cette tradition de la Maison de Bourbon qui ne nous appartient pas et qu’après nous vous devrez transmettre. Ne regardez pas seulement le passé, visez l’avenir !

Mes chers enfants, vous êtes les joyaux précieux de vos parents que nous devons de protéger, d’aimer, d’ élever. Vous êtes aussi les joyaux de cette France qui doit se souvenir et transmettre. Je n’incarne pas un héritage du passé. J’assume d’être l’héritier des rois qui ont fait la France. Je crois en la France de demain qui assume ses forces et ses faiblesses. Comme un père, je ne condamne pas mais comprends et encourages.

Mes enfants, aimez votre pays, aimez ceux qui y vivent, qui y travaillent, qui deviendront comme vous des parents.

Notre famille, notre Maison, c’est la France et vous allez un jour apprendre que cette famille, il y a deux cents ans a été mise à l’épreuve. Qu’aujourd’hui, encore, La Famille est parfois agitée de soubresauts. Vous aurez alors à montrer l’exemple. La France, ce sont de multiples petites cellules familiales où des parents unis par un lien sacré s’engagent dans l’éducation de leurs enfants. Ces petites familles forment une seule et grande famille qui doit, elle aussi, assumer son héritage, grandir, s’épanouir, transmettre.

La France de demain, notre famille doit l’assumer. C’est aussi la conjugaison de tous ces talents issus de parents qui nous ont précédés. Et ce sont les pères et les mères d’aujourd’hui et de demain qui auront cet héritage.

Et comme un enfant apprend sous le regard de ses parents la confiance, vous avez reçu le baptême qui vous inscrit, comme fille et fils de Saint Louis, dans la longue tradition de la France chrétienne qui doit avoir confiance en Dieu.

Montjoie Saint Denis ! Le cri de ralliement de la France, celui qui rassemble cette nation, famille à laquelle nous appartenons.

Voici mon héritage, voici votre héritage.

Louis, duc d'Anjou

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2 juillet 2012 1 02 /07 /juillet /2012 14:58
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C'est avec tristesse que retenue par un mariage familial, je n'ai pu samedi 30 juin être présente à la présentation des petits princes Louis, duc de Bourgogne et Alphonse, duc de Berry, par leurs parents Monseigneur le Prince Louis Duc d'Anjou et Madame la Princesse Marie Marguerite Duchesse d'Anjou, au palais des Invalides à Paris.
En tant que déléguée de l'Alliance Royale, je rappelle que notre parti politique s'interdit de prendre position dans la question dynastique, pourtant je pense que tout royaliste ne peut que se réjouir de cette journée de Samedi, qui a vu le fils aîné des Bourbons, premier de toute la descendance capétienne répartie dans le monde, venir présenter à Paris sa descendance dans ce superbe palais des Invalides, batiment représentatif de la Charité Royale envers ceux qui par leur métier militaire ont servi la France et leur Roi en étant blessés au champ d'honneur.
Le Prince Louis ne pouvait pas également pas mieux choisir que "les Invalides" comme palais symbolique pour montrer ce qu'est une des premières fonctions régaliennes du Roi qui est d'être "Chef des Armées".

En cela il remplit pleinement, le rôle qu'il s'est donné en prenant la présidence de l'Institut Duc d'Anjou en s'attachant à la conservation de la mémoire de la France Royale afin qui sait? de s'appuyer sur l'expérience du passé pour construire le présent et l'avenir.

Cette présentation des petits princes a permis aussi de mettre l'accent sans l'exprimer pour le moment de façon formelle, sur cette remarquable loi fondamentale du Royaume de France qu'est la loi de primogéniture mâle, qui a permis à cette dynastie capétienne de perdurer et à la France de jouir à la différence de nombreux pays, d'une stabilité politique propice à son développement harmonieux malgré les grandes crises qui l'ont traversée, jusqu'à cette cassure dont elle ne s'est toujours pas remise, de la Révolution Française.
La Primogéniture mâle peut d'ailleurs montrer toujours sa supériorité en considérant un exemple sanglant pas encore trop éloigné de nos mémoire que fut la guerrre carliste en Espagne, Espagne qui aurait pu faire l'économie de ce conflit, si la primogéniture mâle avait régi ses lois fondamentales;

Souhaitons que les récentes décisions de quelques royautés européennes du Nord d'abandonner un peu plus ce principe, ces derniers temps, ne présagent pas pour elles des lendemains qui déchantent.

Chantal de Thoury
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les lecteurs de ce blogue pourront consulter avec plaisir les nombreuses photos qui sont diffusées sur les réseaux sociaux; par exemple sur: http://www.facebook.com/media/set/?set=a.388823711180110.91287.185473404848476&type=1
la candidate aux élections législatives: Dominique Fittremann qui se présentait pour l'Alliance Royale en banlieue parisienne donne son commentaire; elle fait partie de la mouvance légitimiste de l'Alliance Royale et était présente aux Invalides:
"C'est l'usage royal. Tout le monde peut serrer la main à son Roi et à sa Reine et leur parler.
C'est ce que j'ai fait hier lors de la présentation des jumeaux à la France à l'Hôtel Royal des Invalides.
J'avais aussi emporté dans mon sac à main la biographie de Louis XX, "Louis XX, petit-fils du Roi Soleil", de Daniel de Montplaisir, afin qu'il me la dédicace.
Je leur ai donné en cadeau le tract Alliance royale que je distribuais sur les marchés pendant la campagne des législatives avec, à l'intérieur, le tract de la campagne Louis XX Roi de France.
Il y avait énormément de monde, dont Stéphane Bern et Franck Abed, et pas mal de membres d'Alliance royale."
Le candidat Laurent de Vargas pour l'Alliance Royale dans les Alpes Maritimes, légitimiste lui aussi, commente sa photo du Prince Louis Duc de Bourgogne:
"Monseigneur Louis de Bourbon, dauphin de France, duc de Bourgogne, âgé de 25 mois, lors de sa présentation le samedi 30 juin 2012, à Paris, hôtel des Invalides."
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3 mai 2012 4 03 /05 /mai /2012 20:58

 la délégation de la Nièvre de l'Alliance Royale, vous informe du décès le 3 mai 2012 de Madame la duchesse douairière d'Anjou,
duchesse de Ségovie,
née Emanuela de Dampierre des ducs de San Lorenzo
elle vient de s'éteindre à l'âge de 98 ans dans sa résidence du Palais Massimo à Rome.
Née à Rome le 8 novembre 1913, elle était la veuve de feu Monseigneur le duc d'Anjou et de Ségovie (Jacques-Henri VI),
la mère de feu Monseigneur le duc d'Anjou et de Cadix (Alphonse II),
la grand-mère de Monseigneur le duc d'Anjou et de bourbon (Louis XX)
et l'arrière-grand-mère de Monseigneur le duc de Bourgogne (dauphin de France).
si l'on se réfère à l'ordre de primogéniture mâle de la descendance des Rois de France.
Madame la duchesse fut pendant plusieurs décades l'âme du Légitimisme. Que son âme repose en paix !
 
 
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28 janvier 2012 6 28 /01 /janvier /2012 18:47

La Princesse Philomène Duchesse de Vendôme épouse de SAR Prince Jean Duc de Vendôme 2è fils de SAR le Comte de Paris, vient de mettre au monde une petite Princesse Antoinette, nous les félicitons et souhaitons à la petite princesse une bonne et sainte Vie.

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10 octobre 2011 1 10 /10 /octobre /2011 14:54

Merci au Salon Beige pour nous avoir indiqué l'interview que vient de donner Monseigneur Louis de Bourbon au journal "le Parisien"
Propos recueillis par Vincent Mongaillard | Publié le 08.10.2011, 10h48 dans "le Parisien"

ARCHIVES(Juin 2004). Louis de Bourbon, duc d’Anjou et aîné des descendants d’Henri IV a demandé au président de la République que la tête d'Henri IV retrouve son cercueil dans la nécropole royale de Saint-Denis.
ARCHIVES(Juin 2004). Louis de Bourbon, duc d’Anjou et aîné des descendants d’Henri IV a demandé au président de la République que la tête d'Henri IV retrouve son cercueil dans la nécropole royale de Saint-Denis.
| LP/AURELIE AUDUREAU

 

En 1793, durant la Terreur, la tête d’Henri IV, monarque qui reposait, depuis 1610, dans dans la nécropole royable de Saint-Denis, a été séparée de son corps par les révolutionnaires. En décembre dernier, après bien des décennies de pérégrinations, le crâne, retrouvé deux ans plus tôt chez un octogénaire, a été authentifié par une équipe de scientifiques et d’historiens orchestrée par le médecin légiste Philippe Charlier.

Le chef actuel de la maison de Bourbon, Louis de Bourbon, duc d’Anjou et aîné des descendants d’Henri IV, en est aujourd’hui le «dépositaire».
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Pour ce banquier franco-espagnol âgé de 37 ans qui vit à Madrid, Henri IV, ou plutôt ce qu’il en reste, «doit retrouver la nécropole royale à Saint-Denis». «Monseigneur» nous annonce qu’il a sollicité en ce sens le président de la République.

Pourquoi estimez-vous qu’il est juste qu’Henri IV retrouve la nécropole royale à Saint-Denis?

Si je suis dépositaire aujourd’hui de cette tête, c’est par la volonté de son découvreur qui pendant 50 ans a cherché à l’identifier. Il a souhaité me la confier parce que je suis le porteur d’un héritage important : celui des rois de France. J’assume cet héritage et j’ai écouté cet homme modeste qui, avec l’humilité des gens de provinces, m’a dit qu’il désirait rendre hommage au « Bon Roi Henri ». Je souhaite aussi respecter sa volonté.

Saint-Denis étant la nécropole royale, je pense qu’il n’y a pas de meilleur emplacement pour enterrer un roi de France. C’est un roi qui fut aimé des Français, qui se préoccupa beaucoup de leur qualité de vie et qui contribua de façon conséquente au développement de la France. Il est donc parfaitement légitime de le ré-inhumer à Saint Denis.

C’est pour vous une sorte de «retour» à la maison...

Le terme «retour» est pour moi important car à sa mort, il fut inhumé dans la nécropole, puis son cercueil, comme de trop nombreux autres, furent l’objet de profanations inqualifiables et enfin, son chef fut volé. Il est normal qu’il repose maintenant en paix là où reposent les autres membres de ma famille. Ce n’est ni une pièce de musée, ni un reste archéologique. C’est une partie de la dépouille d’un homme, d’un chef d’Etat. Il mérite le respect.

Quelles sont les démarches à accomplir pour que votre vœu devienne réalité?

Une fois la tête authentifiée, j’ai sollicité, comme aîné de ma Maison, héritier moral et premier descendant de ce grand roi, l’Etat en la personne du Président de la République. Henri IV est en effet un personnage important de l’Histoire de France et de surcroit un chef d’Etat. La nécropole royale est placée sous la responsabilité du chef de l’Etat et du ministère de la Culture, je me devais donc de leur demander l’autorisation de faire ré-inhumer le roi Henri IV. Je suis très sensible à la question de l’unité et je sais combien aujourd’hui il est essentiel d’avoir l’unité entre les Français. Henri IV a réconcilié les partis en guerre. C’est un très bon exemple de chef d’Etat qui a vu en premier lieu l’intérêt supérieur de la Nation avant les conflits personnels et partisans.

Vous voyez dans votre démarche des vertus de réconciliation...

Les profanations et la période de la Terreur restent ancrées dans la mémoire collective avec une douleur inconsciente mais pourtant bien réelle. Pour moi, la réconciliation, c’est aussi faire que l’aîné des descendants des rois de France et le président de la République française aillent d’un même élan redonner à ce grand roi l’éternel repos qu’il mérite. J’aimerais que des élèves des écoles puissent être présents car c’est notre mémoire, notre patrimoine collectif.

Est-ce que cela doit donner lieu à une cérémonie, à l’instar de celle organisée en 2004 en la mémoire de Louis XVII?

Je pense effectivement qu’Henri IV mérite une cérémonie officielle. Le cœur de Louis XVII fut enterré officiellement. A la mort de Louis XVI, il est devenu de droit Roi de France même s’il n’a pas régné. Henri IV fut roi et régna, il mérite bien les honneurs de la France et je le répète, c’est une bonne occasion de réconcilier les Français avec une période trouble de notre histoire. Nous avons besoin de cohésion nationale. La découverte de la tête du roi Henri IV est un formidable clin d’œil de l’Histoire pour notre monde actuel. Cela ne souffre aucune contestation ni querelle par respect pour ce qu’Henri IV a fait pour notre pays. Son retour à la nécropole royale de Saint Denis doit dépasser les questions partisanes pour le bien de la France.

 Le Parisien

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 19:36

Récemment, la Cour grand-ducale a annoncé des changements aux lois de succession au Luxembourg . Le changement a été de supprimer la préférence de genre dans la ligne de succession et permettre femelles d' hériter du trône à égalité à leurs homologues masculins. le problème de réflexion était de savoir si les changements seraient rétroactifs et donc affecter la ligne actuelle de succession et de Grand-Duc Henri enfants. L'alternative serait que les modifications seraient effectifs partir d'aujourd'hui et touchent les enfants de SAR le Grand-Duc Guillaume héréditaire . Il apparaît maintenant que les changements sont, en fait, avec effet rétroactif avec changements dans la ligne existante de succession. SAR la Princesse Alexandra est maintenant troisième dans la ligne de succession devant son jeune frère le prince Sébastien . Ceci aligne les lois de succession au Luxembourg avec la Belgique, les Pays-Bas, la Suède, le Danemark et la Norvège comme genre neutre. Le successeur immédiat au trône de Luxembourg est Grand-Duc héritier Guillaume , donc il n'y a aucun changement à l'avenir à court terme du Grand-Duché.

TRH Princess Alexandra and Hereditary Grand Duke GuillaumeTRH Princesse Alexandra et Grand-Duc héritier Guillaume

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6 avril 2011 3 06 /04 /avril /2011 11:43
MDP11Parcours

 

Nous recevons ce jour, l'information du secrétariat de Monseigneur le Duc d'Anjou qui nous envoie le communiqué envoyé à la Presse, suivant :

 

 " Mgr le Prince Louis de Bourbon, Duc d'Anjou, chef de la Maison de Bourbon et héritier des rois de France prendra le départ du prochain Marathon de Paris, le dimanche 10 avril 2011.

    Sportif accompli, à bientôt 37 ans, il a déjà participé trois années de suite au Marathon de New York (3 h 36 mn; 3 h 24mn et 3 h 23 mn).

     C'est la première fois qu'il participe au Marathon de Paris. Il portera le dossard 19602.

     le 5 avril 2011.

     Xavier Bureau, secrétaire particulier de Monseigneur le duc d'Anjou.

       

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6 septembre 2010 1 06 /09 /septembre /2010 20:50

bapteme-jumeaux.jpgLes Princes Louis et Alphonse de Bourbon ont été baptisés hier dans la Basilique Saint Pierre du Vatican et ont été inscrits sur les registres « comme altesses royales et ducs de Bourgogne et de Berry en accord avec les anciennes traditions françaises » (selon le communiqué).

Le Baptême a été administré par Monsieur le cardinal Angelo Comastri (archiprêtre titulaire de la Basilique  Vaticane et vicaire général du pape pour la Cité du Vatican).

Mgr Nicolas Thevenin (de la Préfecture de la Maison pontificale) a lu la bénédiction apostolique. 

Deo gratias!

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19 juin 2010 6 19 /06 /juin /2010 11:38

  document extrait du Paris Match de cette semaine; interview du Duc d'Anjou le Prince Louis Alphonse de Bourbon. Dans un souci d'honnêteté envers ce journal nous ne mettrons en ligne l'interview de façon lisible pour ceux qui n'auraient pas acheté le magazine, qu'après le 23 juin.

PM-Louis-Alphonse.jpg

 PM Louis Alphonse 0001

 

 

PHOTOS

 

PASCAL ROSTAIN

parismatch.com

PARIS MATCH

 

 

 

 

 

 

 

DU 17 AU 23 JUIN 2010

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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29 mai 2010 6 29 /05 /mai /2010 15:31

fr.jpg

NON PAS UN MAIS DEUX PRINCES DE FRANCE: leurs petites Altesses Royales LOUIS et ALPHONSE ont vu le jour hier 28 mai 2010 à 15 h 33 et 15 h 38 (heure française), fils de Monseigneur, Prince Louis Alphonse de Bourbon, Duc d'Anjou, descendant direct de Louis XIV par primogéniture mâle et de Madame, Princesse Marie Marguerite son épouse.

 

Les Royalistes du NIVERNAIS-BERRY sont tout à la joie de présenter à Monseigneur le Duc d'Anjou et à Madame la Duchesse son épouse, leurs très respectueuses félicitations.

 

En tant qu'ainé des capétiens, détenteur de ce droit, le Prince Louis-Alphonse a titré ses fils de la façon suivante:

Louis, premier fils dans l'ordre dynastique, né à 15 h 33,  Prince Héritier en titre,  est nommé Duc de Bourgogne.

Alphonse, deuxième dans l'ordre dynastique, né à 15 h 38,  est nommé Duc de Berry.

 

Les Royalistes du Nivernais qui est attaché à la Bourgogne et du Berry, ne peuvent que se réjouir profondément que MONSEIGNEUR ait doté se fils de ces deux provinces où nous vivons même si pour cause de république,  ils n'en ont pas encore la juridiction effective. Cela nous remplit d'un surplus de courage pour continuer le BON COMBAT pour le RETOUR DU ROI.

 

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27 novembre 2009 5 27 /11 /novembre /2009 21:16

  
Nous apprenons que Monseigneur le Prince Louis Alphonse de Bourbon, Duc d'Anjou et Madame la Princesse Marie Marguerite, son épouse attendent la naissance de jumeaux pour le printemps prochain.

        Monseigneur et son épouse sont déjà les parents très heureux de la petite Princesse Eugénie née le 5 marsd 2007.

       Les Royalistes du Nivernais et du Berry s'associent tous à leur joyeuse espérance.




 



Monseigneur, la Princesse Marie Margurite
et leur petite fille la Princesse Eugénie lors de
leur visite au Saint Père Benoit XVI.

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11 mai 2009 1 11 /05 /mai /2009 13:51
Pris par la préparation des Elections Européennes, la délégation Nivernaise de l'Alliance Royale en a oublié ses devoirs envers les membres de notre chère famille Royale.

Samedi 2 mai 2009, Son Altesse Royale le prince Jean duc de Vendôme, descendant par la branche seconde de Louis XIII, s'est marié contre Dona Philoména de Tornos, la Délégation de l'Alliance Royale pour la Nièvre souhaite aux jeunes époux princiers longue vie et de nombreux enfants pour péréniser la famille capétienne si chère à nos coeurs.

La délégation regrette de n'avoir pu voir Monseigneur Louis Alphonse d'Anjou  aîné de la famille Royale et son épouse la Princesse Eugénie, présents à la cérémonie et aux festivités. Monseigneur, en tant qu'aîné est aussi cher à nos coeurs que tous les membres de la famille royale; tous sont notre famille, cette famille mère politique de toutes les foyers de France.
Nous profitons de ce petit éditorial pour rappeler que pendant des siècles, les Français n'ont pas été gouvernés par un seule homme mais bien par une famille dont le chef de famille: l'aîné était le Roi.
longue vie pour le meilleur et pour le pire à nos princes nouvellements mariés.
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5 mars 2009 4 05 /03 /mars /2009 18:06

 

la messe de mariage de S.A.R. le duc de Vendôme et de Mademoiselle Philomena de Tornos sera célébrée le samedi 2 mai, le matin, dans la cathédrale Notre-Dame de Senlis, dans l'Oise. Elle sera suivie d'une réception qui se tiendra l'après-midi dans le domaine de Chantilly. »
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  • : Alliance Royale Nivernais Berry
  • : Blogue de soutien à L’Alliance Royale, qui est un parti politique fondé en 2001 et regroupant des "citoyens" (habitants de la Cité) convaincus qu’il est temps de reposer la question des institutions dans le débat politique français. L’Alliance Royale a non seulement pour ambition de faire redécouvrir la monarchie à nos compatriotes, mais également d’inviter la France à préparer son avenir dans ses institutions.
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