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7 avril 2008 1 07 /04 /avril /2008 15:05

le Salon Belge met sur son site l'information suivante reçue par le Figaro de l'AFP

"des profanations et des dégradations ont été commis dans la nuit de samedi à dimanche sur plusieurs sépultures du cimetière de Saint-Eloi à La Rochelle. Le procureur de la République du tribunal de grande instance de La Rochelle indique

"Une trentaine de croix ont été déplacées et retournées et l'une d'entre elles a été cassée. Plusieurs inscriptions à caractère satanique ont été faites sur le sol devant plusieurs chapelles. Les intérieurs de six chapelles ont été noircis par des feux allumés à l'aide de détritus ou pots en plastique [...] la fosse commune des enfants a subi des dégradations".

Cette ignominie provoquera-t-elle autant d'indignations que celle d'Arras : enquête judiciaire, condamnation de ces actes "racistes" (la religion serait-elle une race ?) par les instances du pays : du chef de l'Etat aux partis, en passant par les ministres (le Premier, de l'Immigration, de la Justice, le secrétaire d'Etat aux anciens combattants), le MRAP, le CRAN, le Grand Rabbin de France, l'évêque diocésain, le CFCM (qui appelle à un rassemblement "

Je pense pouvoir dire que comme d'habitude il y aura deux poids deux mesures: quand des tombes juives, musulmanes ..sont profannées ce que naturellement personne n'approuve, toute la presse d'un seul bloc crie haro sur le racisme et autres hyres, toute la nomenclatura politico-associative se déplace et crie au scandale. cela fait la hune des journeaux. Le journal du centre consacre 1/3 de page pour une photo des tombes profanées.

et pour les catholiques? une paille, un entrefilet qui passera en petite colonne si cela passe. des tombes de nos ancêtres, de nos voisins profanées de la même façon mais cela n'interesse pas les médiasà part exception; et oui, nous sommes les autoctones de notre pays, nous avons qu'un droit c'est d'être insulté, de recevoir des crachats d'être au banc de l'humanité, pourquoi? parce que nous sommes catholiques tout simplement.  Jésus Christ a bien dit: "tendez la joue gauche" alors le catholique doit tout encaisser, c'est naturellement normal.

mais il a dit aussi quand il a été frappé injustement: "si j'ai mal dit, dis moi en quoi sinon pourquoi me frappes-tu.?

alors, je pose la question aux enquêteurs, pourquoi nos tombes sont-elles profanées? Qui est derrière la perversion de la jeunesse? qui l'incite au Satanisme? Pourquoi des mesures drastiques d'interdiction de la métal musique et des autres vecteurs de zombisation de la jeunesse ne sont elles pas prises? Pourquoi les gendarmes ont-ils pour consignes de ne pas arrêter les petits pourvoyeurs de drogue: pour remonter les filières paraît-t'il et pendant ce temps des milliers de nouveaux petits jeunes de 12 ans sont approvisionnés en drogue, drogue en plus coupée par des produits de qualité sanitaire aussi dangereuse sinon plus qu'elle, lutter contre les petits pourvoyeurs peut casser les sources d'approvisionnement pourtant c'est de la plus élémentaire économie. Qui est derrière toute cette subversion de notre jeunesse non seulement par la drogue mais par le consumérisme permanent?

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1 avril 2008 2 01 /04 /avril /2008 14:46

Axel Kahn a expliqué qu’il n’y a qu’un seul cas donnant le droit légal de donner la mort : c’est la guerre. Il ne souhaite pas en créer un deuxième.


Ce déchainement à vouloir légaliser l'Euthanasie voudrait-t'il dire que la personne qu'on va euthansier est une ennemie de la Société, on peut se demander si dans ces opérations malthusiennes il n'y a pas une volonté perverse de "se débarrasser" des plus faibles quitte à faire croire à ceux qui pensent que c'est pour leur bien. Ce comportement rejoint l'attitude vis à vis de l'avortement.

Il est nécessaire de ne pas oublier que les mêmes arguments mortifères ont été développés par le Nazisme. "se débarrasser des plus faibles d'une Société ou de ceux qui la dérangent,  a toujours été le leitmotiv des sociétés millénaristes tournées vers ce  bonheur terrestre hypothétique qui ne voit la Société Humaine que composée de membres en bonne santé, constamment consommateurs de plaisir, éternellement jeunes sans contraintes d'aucune sorte. Or ce bonheur terrestre n'existe pas et ceux qui le préconisent ne le supportent pas, il est donc nécessaire pour eux d'éradiquer ce qui les dérange dans leur vision faussement paradisiaque.

nous mettons en ligne le communiqué du Docteur Jean-Pierre DICKES Président de l 'Association Catholique des Infirmières, Médecins et Professionnels de Santé

« La question de l’euthanasie est relancée dans le cadre d’une campagne médiatique dont la famille concernée a voulu se démarquer publiquement considérant qu’elle était une manipulation.

Chantal Sébire souffrait d’une tumeur rarissime d’un sinus. Le professeur Arnold Munnich, professeur de génétique infantile à l’hôpital Necker (Enfants Malades) et conseiller médical de l’Elysée a commencé par s’étonner que la patiente avait à l’origine refusé de se faire opérer de cette tumeur guérissable à 70 % par la chirurgie, selon ses dires. Elle a refusé l’intervention de peur de mourir. Et paradoxalement, c’est la mort qu’elle  demandera compte tenu de l’évolution de sa maladie. Il y voit un paradoxe.

Par ailleurs tous les médecins généralistes de ville ont été amenés à assister des mourants, bien que les 2/3 des Français meurent désormais à l’hôpital. Ils connaissent les traitements nécessaires pour adoucir la fin de vie de leurs patients : dérivés de la morphine, antidépresseurs, antalgiques, anxiolytiques.
 En tant que praticien, je n’ai jamais eu de cas ingérable. Mais il doit y en avoir sans doute. Que faire ?

Nous tombons alors dans le cadre des soins palliatifs. La loi « Leonetti » autorise les médecins  à arrêter les traitements d’un malade quand il n’y a plus rien à faire pour le sauver. Mais en réalité ce n’était que légiférer sur une question réglée depuis plus de 2.000 ans par Hippocrate en 337 av. J.C.
Tout médecin sait qu’à un moment il ne pourra plus rien faire pour guérir son patient. Et les cas d’acharnement thérapeutique sont de manière générale rarissime. La loi « Leonetti » prenait simplement compte du fait que chacun sait qu’un jour il doit mourir ; et qu’à un moment le médecin pouvait  savoir s’arrêter et laisser mourir son patient en paix tout en le soulageant de ses souffrances. Or Chantal Sébire a refusé les soins palliatifs notamment en disant qu’elle ne les supportait pas. Admettons. Cas extrême sans doute.

Il y avait alors une solution. La mettre sous narcose, c'est-à-dire l’endormir, puis la laisser mourir doucement dans son sommeil. J’en parle en connaissance de cause puisque c’est le dilemme qui s’est posé pour nous lors de la mort de notre fils il y a 10 ans. Afin qu’endormi, il ne souffre pas au moment de la mort. Mais là encore Chantal Sébire refusait au prétexte qu’elle aurait voulu faire une fête avant de mourir et se faire tenir la main au moment où son cœur s’arrêterait de battre. Mais qu’est-ce qui l’empêchait de se trouver entourée de ses amis et enfants au moment où elle aurait été endormie pour l’éternité ? Rien !

Alors où est l’hypocrisie qui est invoquée en permanence par les représentants d’associations qui demandent la légalisation  pour nous médecins d’un permis légal de tuer menant tout droit au suicide assisté ?
 Devons-vous devenir les exécuteurs des basses œuvres de la société ?

Les personnes qui veulent en finir avec la vie peuvent le faire au moyen qui leur convient et qui ne manquent pas. Et dans le cas présent, c’est probablement ce qui s’est passé. Seul Dieu jugera.

Dr Jean-Pierre Dickés

Axel Kahn a expliqué qu’il n’y a qu’un seul cas donnant le droit légal de donner la mort : c’est la guerre. Il ne souhaite pas en créer un deuxième.

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26 mars 2008 3 26 /03 /mars /2008 15:37

Jean Claude Martinez n'est certes pas de "notre chapelle" politique mais quand un homme parle avec bon sens, on ne peut que l'écouter ou plutôt le lire: 

            il nous faut garder en mémoire également que souvent La Vérité ne plait pas.

"Que se cache-t-il en effet derrière le tsunami d'euthanasie compassionnelle venant de gens qui, en août 2003, n'ont pas eu le millième de ces trésors de compassion qui les habite pour tendre un verre d'eau aux 14 803 papys et mamies morts déshydratés ? Il se cache le malthusianisme, l'obscurantisme et le pharisaïsme.

D'abord, l'actuelle propension à vouloir offrir à chacun le droit à s'euthanasier est inversement proportionnelle aux possibilités de se soigner dans l'efficacité. Dans l'Europe des austérités budgétaires, le droit à l'euthanasie devient un substitut du droit aux soins de plus en plus restreint. [...] Chantal Sébire n'avait-elle par un neuroblastome olfactif curable ? Pour autant que des hôpitaux n'aient pas été fermés. Que des médecins n'aient pas été absents par le numérus clausus. Que les internes n'aient pas été recrutés au rabais. Que les chirurgiens et les anesthésistes n'aient pas renoncé faute d'assureurs pour les assurer. Que les appareils Petscan de diagnostic précoces n'aient pas été absents depuis des années de tous les hôpitaux français. Oui, Chantal Sébire n'a pas eu tous les moyens de se soigner. À cause des choix politiques malthusiens que les partis alternativement au pouvoir font depuis des années. [...]

La première vérité cachée, c'est le malthusianisme économique. Il crée le misérabilisme ambiant qui donne le misérable débat que l'on voit et les pratiques misérables qui arrivent. Si Ariel Sharon avait été soigné à Berck, par le médecin de Vincent Humbert, il ne serait plus là. Or il est là. Ce qui révèle deux autres vérités cachées sur la secte de la libre euthanasiologie : la régression obscurantiste qui la caractérise et l'égoïsme pharisien qui la résume. Les obscurantistes ne veulent pas voir qu'après Pasteur et Fleming les pas de géant de la science continuent, acheminant vers la régénération neuronale ou la micro chirurgie vasculaire par exemple. Si bien qu'avant la fin de ce siècle, Vincent Humbert aurait remarché. Quel gâchis alors que de lui avoir refuser les moyens de pouvoir attendre, de s'adapter et d'espérer. Malthusianisme qui a fabriqué en Europe l'entonnoir à euthanasie, obscurantisme consternant qui ferme l'avenir et surtout pharisaïsme ambiant. Le discours sur l'euthanasie déverse en effet des torrents d'hypocrisie.

D'abord, la dénonciation d'un "acharnement thérapeutique" dans une France où les chirurgiens, les anesthésistes, les infirmières, les lits d'hôpitaux, les IRM et les petscans manquant, c'est le rationnement thérapeutique qui fait scandale et non l'excès de soins. Ensuite, la drôle de compassion, la seringue en bandoulière et la piqûre à la boutonnière, qui veut aider à mourir, parce qu'une minute suffit pour piquer, mais qui refuse d'aider à vivre, parce que là il faut plus de temps. Car enfin, les 400 personnes qui ont trouvé deux heures pour aller à la messe de Vincent Humbert éliminé n'avaient pas trouvé dix minutes pour aller parler avec Vincent Humbert quand il les attendait. Il le dit et s'en plaint dans son livre qui est un hymne à la vie et le récit d'une avalanche d'égoïsmes qui l'ont acculé.

Encore l'invocation d'une dignité pourtant tellement refusée aux milliers d'oubliés dans les maisons de retraite, que l'on ne voit pas comment elle serait sincèrement accordée aux enfermés dans la maladie. En vérité, l'euthanasie consiste moins à reconnaître la dignité de l'autre qu'à s'exonérer de sa culpabilité envers les autres. Notamment parce que, depuis vingt ans, on a voté n'importe comment en laissant se créer tellement la pénurie de tout que l'euthanasie organise en final la pénurie de la vie. Quand l'Europe des restrictions impose le choix budgétaire entre investir pour les dieux du stade ou les vieux au dernier stade, on choisit les premiers et on offre l'euthanasie aux seconds."

Cet 'extrait de son texte a été émis par le site du SALON BELGE ( rubrique: Ce que cache le délire euthanasiste  http://srv03.admin.over-blog.com/index.php?module=admin&action=publicationArticles:editPublication&ref_site=1&nlc__=941206538615) qui renvoie au texte complet.

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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 15:43

A lire la lettre écrite par

Régis Ravat
sur le site Les Manants du Roi


Nous n’entendons pas jeter du pétrole sur le feu… par Portemont

Au prix du baril… Mais rappeler simplement quelques vérités… Qui se souvient de Louis Riel ? Chef métis (d’ascendance canadienne-française et amérindienne-sioux), victime des Orangistes fanatiques, exécuté le 16 novembre 1885 pour avoir défendu son Peuple !

Retrouvez l'intégralité de l'article que nous avons mis en ligne sur notre site en cliquant sur le lien:
http://www.lesmanantsduroi.com/articles2/article35419
.php

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25 mars 2008 2 25 /03 /mars /2008 12:47
Par Christian Audic, délégué Provence Orientale de l' ALLIANCE ROYALE

Chantal SEBIRE est décédée mercredi dernier et nous ne pouvons que compatir à la douleur de sa famille et à la souffrance que cette femme a endurée. Il n’en demeure pas moins que la démarche effectuée auprès de la justice d’une demande « exceptionnelle » d’euthanasie, ne peut recevoir notre assentiment, ni l’interpellation d’ailleurs du chef de l’état que l’on peut cependant qualifier de démarche émotionnelle.

La situation dramatique de cette femme n’était que d’ordre strictement privé et l’implication de l’autorité publique dans le choix décisionnel de cette femme ressemblait plus comme un abandon de sa propre responsabilité, le besoin de s’en dégager afin que l’état se substitue à celle-ci. Vouloir impliquer les pouvoirs publics dans la sphère du privé, même médical, ne peut qu’amener une confusion dans les limites de l’intervention de l’état et de la justice.

Bien entendu, la question essentielle soulevée par ce cas dramatique est celle de l’euthanasie. Le sujet est plus que sensible, mais légiférer de manière précise entraîne deux problèmes fondamentaux, d’une part la question de la notion de la sauvegarde et de la protection de la vie et cela quelle qu’elle soit et d’autre part la qualification des limites, des frontières de cette intervention.

Car ces limites, une fois établies, seront toujours sujettes à remise en question. Pourquoi refusera-t-on la fin de vie désirée par une personne sous prétexte qu’il y aura seulement un léger « décalage » avec les règles élaborées au préalable. Le vecteur émotionnel sera toujours à même de faire à nouveau « réfléchir » la société sur ce nouveau cas. Et comme la dit Jean-Paul II « le fondement de ces valeurs ne peut se trouver dans des « majorités » d’opinions provisoires et fluctuantes »

Il faut surtout revoir le traitement médical en fin de vie et supprimer toute forme d’acharnement thérapeutique avec le maintien en vie de la personne de manière artificielle. Il s’agit plus d’un problème d’éthique qu’autre chose. Une loi légiférant cela serait pire que le remède.

Le risque serait d’arriver à demander aux grands malades et aux handicapés, voire aux personnes âgées de faire la preuve qu’ils ont gardés toute leur capacité mentale et de démontrer ainsi qu’ils ne sont pas une charge pour la société. Cette maîtrise de la mort engendre toujours la possible mise en place d’une sorte de totalitarisme scientifique permettant la sélection entre qui doit vivre et qui doit mourir.

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20 mars 2008 4 20 /03 /mars /2008 18:09

sur le site du Salon Belge Michel Janva écrit:

Le docteur Bernard Devalois, ancien président de la Société française d'accompagnement et de soins palliatifs et responsable de l'unité de soins palliatifs à l'hôpital de Puteaux, a accordé un entretien à La Vie. Pour lui, la démarche la plus efficace dans le cas de Chantal Sébire aurait été de soulager ses douleurs physiques et de l'accompagner dans la dignité, autrement, sans lui faire une injection létale. Selon lui, la demande d'euthanasie

"est un épisode de plus de la propagande organisée par les partisans d'une légalisation de l'euthanasie". "

"J'ai l'intime conviction qu'on peut soulager les douleurs de Chantal Sébire".

Il reconnaît qu'il existe des douleurs chroniques rebelles, mais, dans les cas de cancers, "il n'y a pas de situations pour lesquelles nous ne puissions apporter de réponse". Les demandes récurrentes d'euthanasie viennent d'un manque de formation des médecins à l'accompagnement, par l'ignorance des possibilités offertes par les médicaments et par "la confusion entre liberté et droit, largement entretenue par les partisans de l'association pour le droit à mourir dans la dignité (ADMD)". Il dénonce le manque d'unités de soins palliatifs ("Il y a 5 fois plus de demandes que de places") et souligne le manque de moyens financiers pour faire tourner correctement ces unités.

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18 mars 2008 2 18 /03 /mars /2008 14:46
Réflexion en temps que responsable politique catholique

 

Depuis plusieurs jours une pression médiatique se superpose aux informations sur les élections, elle semble bien orchestrée car nombre de candidats ont dû répondre à la question « que pensez-vous des horribles souffrances de Chantal Sebire, ne vaudrait-il pas mieux accepter l’euthanasie dans certaines conditions ? ».

 
Ayant également été interpellée au cours de ma campagne électorale sur le sujet, j’ai béni le ciel d’être catholique, d’avoir reçu une enseignement catholique dans la parfaite orthodoxie et d’y avoir puisé à « la source d’eau vive » et de pouvoir y répondre discrètement avec amour et sincérité, sans animosité mais en disant la vérité en gardant une grande compassion.

 

Dans l’état de barbarie dans lequel rechute notre civilisation aux technologies si avancées mais à l’esprit redevenu sauvage, la solution catholique est une source d’eau fraîche ; elle est la solution divine, celle qui nous a été montrée par celui qui dès le « commencement était le Verbe et le VERBE était auprès de Dieu, et le Verbe était Dieu… » (st Jean ch.1)  « Jésus Christ fils unique de Dieu né du père avant tous les siècles, Dieu de Dieu, lumière né de la lumière, engendré non pas créé, consubstantiel au Père et par qui tout a été créé…….. » (credo :symbole de Nicée).

 

Jésus Christ fait homme qui a voulu souffrir et mourir sur la Croix en expiation d’agréable odeur pour réparer l’honneur de Dieu pour les « crachats » que lui envoient ses créatures : humaines par leurs péchés ; par la blessure de son Sacré Cœur il a déversé les trésors de celui ci sur notre misère afin de purifier ceux qui acceptent d’être lavés dans son sang salvateur.

 

Quel rapport avec Chantal Sébire ?

 

C’est justement le cœur du problème de notre Société Edoniste qui refuse tout ce qui la gêne.

 

Je ne sais pas quel enseignement religieux a reçu cette pauvre femme, que je plains de tout mon cœur et que j’ai inscrite dans ma liste d’intentions de prières, je ne sais pas si elle est baptisée ; je sais seulement que si elle était catholique profonde, on n’aurait jamais entendu parler d’elle sous ce jour car elle serait devenue d’elle-même une discrète offrande unie à Jésus pour la conversation des pêcheurs et cette attitude aurait déjà atténué ses souffrances car Dieu ne laisse jamais souffrir ceux qui l’aiment au-delà de leurs forces..

 

Le catholique pratiquant a appris depuis son baptême que la souffrance fait partie de la vie car la souffrance par l’union à  Jésus Christ en Croix participe à la rédemption du Monde ainsi que le dit St Paul 

 

Nota : pour ceux qui ne savent pas ce que cela signifie, c’est l’admission de tous ceux qui acceptent d’obéir à l’enseignement divin, dans le bonheur éternel de l’intimité avec Dieu ; les souffrances acceptées en ce sens par les Chrétiens peuvent obtenir des grâces de conversion supplémentaires pour que ceux qui ne croient pas se mettent à croire, Dieu dans son Verbe Jésus a satisfait à la Justice et à l’Honneur de sa Trinité Divine mais il laisse à l’homme son libre arbitre de croire et l’aimer ou de ne pas croire ; il donne à chaque homme les grâces suffisantes pour « être sauvé » mais en ce qui concerne les grâces nécessaires et habituellement il en faut une sacré dose, il a voulu la participation de ceux qui croient ;

Ainsi, tout catholique est appelé à offrir les souffrances que Dieu permet à son endroit afin d’obtenir ces grâces nécessaires pour tous ceux pour lesquels il prie et les offre en union avec le Divin Rédempteur et y trouve paix et bonheur, c’est pourquoi on peut parler de bonheur dans « l’ Exaltation de la Croix ».

 

C’est la méditation habituelle de la Passion du Christ qui obtient les plus grandes grâces.

 

En la méditant, .Le catholique supporte sa souffrance patiemment en rémission de ses propres fautes et en offrande à Dieu pour la rémission des fautes de « ses frères » (tous ceux pour lesquels ils prient), c’est pourquoi « la Croix », (la souffrance non recherchée)  est un scandale et une folie pour ceux qui n’y croient pas.

 

En cette dernière semaine du Carême, j’invite donc tous ceux qui lisent ce site à faire une méditation profonde journalière de la Passion du Christ décrite sous des facettes différentes par les quatre évangélistes. Que ceux qui ne le veulent vraiment pas, acceptent alors au moins de regarder le film « La Passion de Christ » de Mel Gibson et de méditer sur celui-ci.

 

Trouver cette réflexion sur un site internet à vocation politique peut sembler curieux à certains mais je rappelle que cette méditation de la Passion a dirigé les actes de la plupart de nos rois de France et que Notre dernier grand roi Louis XVI s’en est nourri pendant les derniers temps de sa vie puisque ayant demandé à être détaché de ses liens à l’heure de la mort pour monter à l’échafaud, son confesseur lui rappela l’Imitation de Jésus Christ allant attaché à la mort sur la Croix. Le Roi acquiesça et écrasa sa dernière pensée de fierté pour accepter la dernière opprobre.

 

On est loin de tout cela avec nos comportements politiques actuels où notre fierté regimbe continuellement devant les sarcasmes et les ricanements.

 

Pour le cas de l’Euthanasie, la seule solution POLITIQUE et de JUSTICE est la solution proposée par tous les Chrétiens qui croient à la valeur rédemptrice de la souffrance

 

1° encadrement par des soins palliatifs afin de diminuer la souffrance tout en laissant à celui qui souffre sa pleine connaissance ; Dans ces conditions la souffrance peut être totalement ou partiellement érradiquée mais rendue supportable. Il est impératif de laisser sa pleine connaissance au malade.

 

2° sous la condition de lui laisser son libre arbitre total par rapport à « ses fins dernières » accompagner la personne souffrante et être à son écoute avec amour et l’aider à méditer sur lesdites  « fins dernières » mais cela demande un encadrement lui-même spécialement formé, et c’est là où l’on trouve encore la supériorité de l’enseignement catholique, qui de tous temps a continuellement aidé ceux qui souffraient à « supporter » leurs peines et les a toujours harmonieusement accompagné à l’heure de la mort.

 

Aucune autre solution n’est « humaine » toutes les autres solutions ne sont que des retours à la sauvagerie ou à l’animalité. Dans la Nature, les animaux eux-même laissent leur congénère mourir seul dans un coin ou même assez souvent l’achèvent eux-même.

 

De plus j’ai entendu certains hommes politiques suggérer à Chantal Sebire de se suicider.

 

Je rappelle à tous ceux qui l’ont oublié ou ne le savent pas que le suicide est un péché Mortel qui, s’il est accompli en pleine connaissance de l’acte, prive de la béatitude éternelle ceux qui le commettent. C’est pourquoi jusqu’à des temps récents et encore dans les communautés traditionnelles ainsi que dans les églises orthodoxes l’enterrement religieux des suicidés n’est pas accepté. Ce qui ne veut pas dire que le suicidé est privé du salut car tant que le cerveau est irrigué après l’arrêt du cœur, il peut y avoir repentance de l’acte commis mais cela seul Dieu peut le savoir, c’est pourquoi il faut intensément prier pour les suicidés afin de leur obtenir les grâces nécessaires de dernière seconde.

 

Inciter Chantal Sebire au suicide est aussi répréhensible que de l’euthanasier et les gens qui le font sont plus coupables qu’elle si elle accomplit cet acte.

 

 

 

Dernière note : Aucun homme au monde ne peut faire l’économie de la souffrance, la souffrance « insupportable » pour les uns le sera parfaitement par d’autres, on ne peut pas juger de la souffrance de quelqu’un celle-ci étant toujours très personnelle. C’est pourquoi un accompagnement spirituel est si important car il permet souvent de relativiser la Souffrance que l’on  pouvait croire quelques heures auparavant insurmontable. Chaque cas est différent.

 

Je prie pour que ce mot soit compréhensible à tous et j’espère y avoir mis tout ce que je pouvais de miséricorde et de compassion

 

            Chantal de THOURY

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15 mars 2008 6 15 /03 /mars /2008 12:12
14 mars Bioéthique
Don de gamètes : la filiation truquée Don de gamètes : la filiation truquée
Pierre-Olivier Arduin*

Dans quelques jours sera lancée une campagne d’incitation au don de gamètes orchestrée par l’Agence de biomédecine. Au printemps, ce sont les femmes et leurs ovocytes qui seront visés, avant que les spermatozoïdes ne suivent cet automne. Carine Camby, sa directrice, l’avait annoncée le 28 janvier dernier en divulguant les chiffres de l’assistance médicale à la procréation (AMP) pour l’année 2005. Les statistiques générales montrent que le recours aux techniques de fécondation artificielle a augmenté sensiblement entre 2002 et 2005 avec 123 000 tentatives enregistrées (108 410 en 2002) donnant lieu à la naissance de 19 026 enfants (contre 15 962 en 2002). Aujourd’hui, 2,4 % des 807 400 naissances en France sont issues directement de  ... suite à lire sur....  www.libertepolitique.com/public/decryptage/article-2147-Don-de-gametes-%3A-la-filiation-truquee.html
 
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28 février 2008 4 28 /02 /février /2008 21:39
Retour sur le parrainage d'unenfant de la shoah

vitrail_lucs_2.jpgLe Président Sarkozy a proposé il y a dix jours que « à partir de la rentrée scolaire 2008, tous les enfants de CM2 se verront confier la mémoire d'un des 11 000 enfants français victimes de la Shoah ».

Dans la droite ligne de ce souci du devoir de mémoire, Catholique en Campagne propose une mesure complémentaire à celle-ci, mesure qui consisterait à confier à tous les élèves de classe de sixième la mémoire des 109 enfants français de moins de 7 ans massacrés aux Lucs sur Boulogne le 28 février 1794.

Ces enfants, ainsi que d’autres habitants de ce village de Vendée furent enfermés dans l’église. Le bâtiment fut ensuite incendié par les troupes républicaines (colonnes des généraux Cordellier et Crouzat).

Pourquoi massacrer des enfants et des villageois sans défense ? Parce qu’ils étaient tous catholiques.

 

Comment dit-on « Shoah » en vendéen ?

Lire la suite... sur le site Catholiques en campagne
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22 février 2008 5 22 /02 /février /2008 11:37
Le refus d'ANDRE SANTINI de quitter le Gouvernement appelle une longue réflexion sur la différence qui existe entre la République et l'ancien fonctionnement Royal de traitement de ce genre d'affaires.

 La République a déblateré longuement sur l'iniquité de la Bastille mais elle a toujours omis de dire que la Bastille n'était pas une prison de droit commun mais était réservée à ceux qui avaient trafiqué sur les fonds de l'Etat, aux escrocs et receleurs et accessoirement aux prisonniers politiques subversifs tels certains écrivains que je ne nommerai pas qui s'étaient dépêchés de mettre quelques centaines de kilomètres entre le pouvoir royal et eux et qui furent à l'origine de cette sanglante boucherie que fut la Révolution Française.

Le Roi y envoyait également ponctuellement quelques-uns des nobles de la Cour qui avaient eu des comportements plus qu'impolis envers le pouvoir royal. Il restaient quelque temps dans la batisse, le temps de méditer sur l'inconvenance qu'il y a d'être irrespectueux envers son PERE, car le Roi est bien un Pere pour son peuple et on lui doit le respect. Le Roi d'ailleurs n'abusait pas de ce pouvoir, cela est confirmé par le fait que lors de la prise de la Bastille on n'y trouva que 3 prisonniers.

Que va-t'il se passer à propos d'ANDRE SANTINI dernier des cassiques de la République mis en examen; après une enquête longue et difficultueuse, il va encore naturellemment s'en sortir sans avoir à rendre des comptes, avec une "petite pénitence" d'inégibilité bof!.... qu'en a t'il à faire?

Ces personnages si propres apparemment et pourris de l'intérieur sont hors justice car ils ont tant de relations dans les rouages de l'Etat aussi sales qu'eux,  qu'ils sont inattaquables sauf quand des petites vengeances internes ont décidé de leur comdamnation.

Du temps de nos Rois de France, ils existaient également, et c'est pourquoi nos Rois possédaient ce pouvoir discrétionnaire de "La lettre de Cachet" . Le Roi possède le bras de Justice et c'est quand les moyens de justice ordinaires n'étaient pas suffisants en raison des relations trop fortes que possèdaient certains "malfrats" ainsi que de leur position sociale trop élevée pour être abattue par les moyens ordinaires, que le Roi intervenait par "la lettre de cachet". Contrairement aux dictateurs modernes, nos rois n'en ont jamais abusé.

Il y avait une raison à cela, c'est que nos rois étaient catholiques et qu'ils savaient tous (leurs confesseurs étaient là pour le leur rappeler) qu'ils auraient des comptes à rendre à Dieu à l'heure de la mort,  sur l'exercice de leur Justice; ce n'est pas le cas des dictateurs modernes impies qui ne croient plus en Dieu ni au Diable.

C'est pourquoi la République au niveau d'une nation de la taille de la France, ne pourra jamais vraiment être un système qui exerce réellement la JUSTICE car par le fait des élections on aura toujours ce risque de voir arriver à "la magistrature suprême", des hommes sans foi ni loi qui auront été élu sur leur aspect extérieur, leur aptitude à bien parler, mais non pas sur leur éducation première et leurs comportements réels.
 
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21 janvier 2008 1 21 /01 /janvier /2008 19:36
l'Alliance Royale a soutenu la marche pour la vie du collectif  "30 ans ça suffit "
les photos plus que les paroles parlent de cette journée du 20 janvier, cette marche a réuni tous ceux qui affirment que la VIE doit aller de la conception à la mort naturelle quelque soit leur couleur politique, syndicale ou autre. Cette union des forces de vie est encourageante pour le combat pour le relèvement de la Société.

à voir sur:  le Forum Catholique et  Ici sur tradi.free.fr (merci à GP).
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13 novembre 2007 2 13 /11 /novembre /2007 15:31
3093-Des objectifs clairs

Les médias n’ont fait malheureusement que peu d’écho au discours de clôture prononcé par Mgr André Vingt-Trois au terme de l’assemblée plénière des évêques de France à Lourdes. Il est vrai qu’un tel langage se prête assez mal au style et aux modes d’orchestration de notre société de communication. Et pourtant il y aurait de quoi susciter de beaux débats à partir d’interpellations fortes. Peut-être va-t-on d’ailleurs rechercher quelques citations du nouveau président de l’épiscopat, lorsque l’actualité se recentrera sur la campagne du téléthon, si

à lire sur http://www.france-catholique.fr/3093-Des-objectifs-clairs.html le discours de cloture Monseigneur VINGT-TROIS au terme de l’assemblée plénière des évêques de France à Lourdes.

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